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THE MANHATTAN PROJECT (1986)

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Manu  le 19/11/2024 à 12:17
Réalisé par Marshall Brickman
Avec John Lithgow, Christopher Collet, Cynthia Nixon, Jill Eikenberry, Robert Sean Leonard.
Film américain
Genre : Science-fiction
Durée : 1h 57min.
Année de production : 1996
Titre français : Manhattan project

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The Manhattan project est le troisième long métrage cinématographique du scénariste et réalisateur Marshall Brickman, peut-être avant tout connu pour sa collaboration, en qualité de scénariste, avec Woody Allen sur au moins 2 titres référentiels de ce dernier, Annie Hall et Manhattan. Le film est coécrit par Brickman et Thomas Baum, ultérieurement cocréateur de la série de courte durée Nightmare Café avec Robert Englund.

Difficile de ne pas penser au classique WarGames de John Badham à la découverte de ce Manhattan project semblant né sous les meilleurs auspices. Et il est vrai que ce produit dérivé se présente plutôt bien sur le papier. Les moyens d’une production de première classe sont là, et le film se démarque assez vite de son modèle par une approche peut-être moins spectaculaire, radine en humour, plus studieuse et tournée vers l’humain.

Bref, c’est donc un peu plus sec dans l’ensemble, et malheureusement nettement moins percutant en terme de rythme. En outre, n’arrangeant pas les choses, le capital crédibilité de l’œuvre se voit bien trop régulièrement bousculé pour ne pas avoir raison de la complicité du spectateur. Et puis, soyons honnête, il manque clairement un Matthew Broderick à tout ça.

Bref, globalement une assez franche déception, peut-être aussi liée à la sensation que le film avait initialement tout pour (me) plaire.

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LES SUSPECTS (1974)

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Manu  le 18/11/2024 à 18:23
Réalisé par Michel Wyn
Avec Mimsy Farmer, Paul Meurisse, Michel Bouquet, Bruno Cremer, Renaud Verley.
Film français, italien
Genre : Policier
Durée : 1h 24min.
Année de production : 1974

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Les Suspects est le premier long métrage cinématographique du scénariste et réalisateur Michel Wyn, assistant de René Clair, Henri Verneuil ou encore Robert Parrish. Le film adapte le roman de Paul Andreota, « La Pieuvre », publié en 1970. Il se situe dans la carrière de Bruno Cremer entre le thriller Le Protecteur de et avec Roger Hanin et le néo-noir La Chair de l’orchidée de Patrice Chéreau. Révision de cette gourmandise seventies, sorte de whodunit à la française, pas trop mal troussé niveau suspense, avec même une (petite) tentative de regard plus large sur la société française de l'époque - on y évoque brièvement les liens / rapports de force entre pouvoir et justice. Le téléaste Wyn emballe l'affaire très efficacement - on sent quelque part le gars qui a observé Verneuil en action - en moins de 90 minutes, et, côté interprétation, c'est du caviar, même si on aurait peut-être aimé profiter davantage de Cremer, Meurisse, Bouquet et les autres. Super thème musical de De Roubaix également (pour un score très court). Bref, un film au contenu finalement un peu trop dense pour ne pas manquer d'explorer de façon satisfaisante toutes ses pistes narratives. Mais, après, a-t-on vraiment le droit de se plaindre d'une telle générosité ?

SURVIVING PICASSO (1996)

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Manu  le 17/11/2024 à 18:09
Réalisé par James Ivory
Avec Anthony Hopkins, Natascha McElhone, Julianne Moore, Joss Ackland, Diane Venora.
Film américain
Genre : Biopic
Durée : 2h 05min.
Année de production : 1996

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Surviving Picasso est le vingt-deuxième long métrage cinématographique de le californien James Ivory. Cette production américaine tournée en France est écrite par son habituelle collaboratrice, Ruth Prawer Jhabvala. Elle marque la troisième collaboration entre Ivory et l’acteur Anthony Hopkins. Relative déception critique, en son temps, que ce biopic nous dévoilant un Picasso pas forcément aimable, sous les traits d’un Hopkins plutôt à son aise, si toujours discrètement un peu cabotin. Et il est vrai que, rétrospectivement, on n’est pas sur Ivory majeur. L’ensemble se laisse en effet agréablement suivre, en grande partie grâce aux comédiens et à la facture très soignée de sa reconstitution - la Ivory’s touch, en quelque sorte - mais l’académisme n’est jamais très loin non plus dans ce portrait vitriolé attendu, très classiquement écrit et mis en scène. Et le résultat relativement dépourvu d’émotion, de complexité comme plus globalement de pertinence. Bref, un beau livre d’images avec de solides numéros d’acteurs, mais rien de plus. Soit un Ivory plutôt mineur sans être raté.

MOB LAND (2023)

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Manu  le 17/11/2024 à 09:51
Réalisé par Nicholas Maggio
Avec Shiloh Fernandez, John Travolta, Kevin Dillon, Stephen Dorff, Ashley Benson.
Film américain
Genre : Policier
Durée : 1h 51min.
Année de production : 2023

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Mob Land est le premier long métrage cinématographique du scénariste et réalisateur Nicholas Maggio. Le film est écrit par Maggio lui-même et compte parmi ses nombreux producteurs exécutifs 3 de ses principaux interprètes, Shiloh Fernandez, Kevin Dillon et Stephen Dorff. Il se situe dans la carrière de John Travolta entre la comédie Die Hart d’Eric Appel et le film d’action Cash out de Randall Emmett. Contre toute attente, je n'ai pas passé un mouvais moment devant ce petit Mob Land. C'est peut-être même ce que Travolta a fait de plus intéressant depuis le western de Ti West, In a valley of violence. Certes l'influence des frères Coen, et de No country for old men en particulier, est parfois un peu pesante. Mais il y a tout de même un chouia d'ambition appréciable dans cette mise en scène posée, qui soigne son atmosphère dépressive. Et puis Travolta en shérif fatigué et Stephen Dorff en tueur justicier tiennent plutôt bien leurs rôles. Bref, un titre à retenir dans la carrière de l’interprète de Blow Out, et peut-être même un nom de réalisateur aussi…

ADIEU VINYLE (TV) (2023)

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Manu  le 16/11/2024 à 08:19
Réalisé par Josée Dayan
Avec Isabelle Adjani, Matthieu Amalric, Matthieu Dessertine, Jacques Bonnaffé, Hugues Quester.
Téléfilm français
Genre : Thriller
Durée : 1h 34min.
Année de production : 2023

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Adieu vinyle se situe dans la carrière de la vétérante Josée Dayan entre la mini-série Diane de Poitiers, déjà interprétée par Isabelle Adjani, et l’un des 34 épisodes de sa série comico-policière, Capitaine Marleau. Cette quatrième adaptation du roman de Pierre Boileau et Thomas Narcejac, « A cœur perdu », publié en 1959, est écrite par Sylvain Saada, coscénariste notamment de Châteauroux district de Philippe Charigot et, pour le petit écran, du drame criminel Rouge sang de Xavier Durringer. 1 an seulement après Diane de Poitiers, Adjani retrouve Dayan pour cette adaptation d’un classique littéraire du duo Boileau-Narcejac. Intrigue béton et distribution séduisante, comme toujours chez Dayan, soit de quoi m’aider à surmonter mes grosses réticences à m’investir dans l’univers de la téléaste. Et je dois malheureusement dire que ce n’est pas avec ce titre que je vais changer d’avis sur cette réalisatrice. J’y ai en effet retrouvé tout ce qui m’horripile prodigieusement chez elle. Direction d’acteurs à l’Ouest, poussant tout le monde à un cabotinage éhonté - grosse tristesse de voir ainsi Adjani aussi piteusement exploitée - et réalisation figée, empesée, surlignant tout jusqu’au ridicule : Adieu vinyle est un festival Dayan qui emporte tout sur son passage, et, en premier lieu, son excellent récit à suspense. Bref, peut-être un sommet pour les fans de la Madame, mais une catastrophe télévisuelle à mon gout.

TARGET HONG KONG (1953)

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Manu  le 15/11/2024 à 07:44
Réalisé par Fred F. Sears
Avec Richard Denning, Nancy Gates, Richard Loo, Michael Pate, Philip Ahn.
Film américain
Genre : Espionnage
Durée : 1h 11min.
Année de production : 1953

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Target Hong Kong est l’un des 7 longs métrages cinématographiques réalisés par Fred F. Sears au cours de l’année 1953. Ecrit par le scénariste de télévision Herbert Purdom, le film marque la première des 2 collaborations entre le cinéaste et l’acteur Richard Denning, quelques mois avant le drame criminel The 49th man. Il se situe dans la carrière de Nancy Gates entre le drame familial The Member of the wedding de Fred Zinnemann et la comédie musicale Torch song de Charles Walters. Pourtant friand des toutes petites séries B de Sears, j’avoue avoir été un peu déçu par ce polar exotique de l’ère anticommuniste. L’ensemble s’annonçait nettement plutôt amusant sur le papier. Mais, aussi fertile en péripéties soit son intrigue, Target Hong Kong demeure à mon gout un film finalement un peu trop statique, se perdant quelque peu en bavardages. Reste tout de même le savoir-faire du suractif Sears, qui sait proposer un spectacle décent avec très peu de moyens. Les décors sont ainsi suffisamment variés, les stock-shots bien exploités et l’ensemble visuellement toujours soigné. Bref, le job est fait mais l’ensemble manque d’entrain, d’une pincée d’excentricité aussi, peut-être, pour un film « anti-rouge ».

IL GRANDE ATTACCO (1978)

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Manu  le 14/11/2024 à 16:34
Réalisé par Umberto Lenzi
Avec Helmut Berger, Samantha Eggar, Giuliano Gemma, John Huston, Stacy Keach.
Film italien, allemand, yougoslave
Genre : Guerre
Durée : 1h 47min.
Année de production : 1978
Titre français : La Grande bataille

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Il Grande attacco est le quarante et unième long métrage cinématographique du scénariste et réalisateur Umberto Lenzi. Filmé entre l’Espagne et, pour quelques séquences, les Etats-Unis, le film est coécrit par Lenzi lui-même et Cesare Frugoni. Il se situe dans la filmographie de Stacy Keach entre laz mini-série Jesus of Nazareth de Franco Zeffirelli et le film catastrophe Gray Lady down de David Greene. Sans doute la plus belle distribution qui ne soit jamais passée entre les mains d’Umberto Lenzi, Il Grande attacco ne vaut malheureusement le détour que pour celle-ci essentiellement. Car, pour le reste, l’œuvre ne se brille qu’à travers l’aspect étonnamment confus de son script, se contentant d’aligner les séquences spectaculaires sans réellement développer d’intrigue digne de ce nom ou parvenir à nous intéresser au sort de l’un de ses 6 personnages principaux. Bref, un film frileux et confus dans lequel on retrouve pas le Lenzi exubérant qu’on aime, le cinéaste ne semblant pas trop savoir quoi faire de ses moyens et ses acteurs ici. A voir néanmoins pour son affiche unique en son genre.

BLOOD (2022)

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Manu  le 14/11/2024 à 10:51
Réalisé par Brad Anderson
Avec Michelle Monaghan, Skeet Ulrich, Finlay Wojtak-Hissong, June B. Wilde, Skylar Morgan Jones.
Film américain, luxembourgeois, canadien
Genre : Epouvante
Durée : 1h 48min.
Année de production : 2022

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Douzième long métrage cinématographique de Brad Anderson, Blood est écrit par Will Honley, précédemment coscénariste du drame horrifique Bloodline d’Henry Jacobson. Le film se situe dans la carrière de Michelle Monaghan entre la mini-série à suspense Echoes et le biopic musical Spinning gold de Timothy Scott Bogart. Il marque la troisième collaboration entre Anderson et le directeur de la photographie Björn Charpentier. Si l'on retrouve bien l'univers horrifique à taille humaine de Brad Anderson ici, c'est à peu près tout ce que je peux dire de positif sur ce titre. Pour moi, le gros problème de Blood est qu'il repose sur une situation impossible à comprendre et avaler, et que toutes les péripéties découlant du conflit moral qu'affronte l'héroïne ne font que plonger le récit toujours un peu plus loin dans l'absurde, voire le risible au final. Bref, pas tout à fait le grand retour du réalisateur des sympa Session 9 et The Machinist, cinéaste dont j'avais plutôt apprécié le Beirut, un peu plus récemment, dans un autre genre.

ARCADIAN (2024)

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Manu  le 13/11/2024 à 21:09
Réalisé par Benjamin Brewer
Avec Nicolas Cage, Jaeden Martell, Maxwell Jenkins, Sadie Soverall, Samantha Coughlan.
Film américain, irlandais, canadien
Genre : Epouvante
Durée : 1h 32min.
Année de production : 2024

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Arcadian et le troisième long métrage cinématographique de Benjamin Brewer. Ecrit par Mike Nilon, précédemment producteur / producteur exécutif de plusieurs métrages interprétés par Nicolas Cage, il marque la seconde collaboration entre Brewer et Cage après le drame criminel The Trust, sorti en 2016. Nouveau « post-apo » pour Cage, après Prisoners of the Ghostland, qui œuvre cette fois dans la catégorie survival et évoque une sorte de croisement entre It comes at night, A quiet place et (soyons fous) le Malevil de Christian de Chalonge. Programme intéressant, enrichi d’un cadre rural irlandais apportant indéniablement une petite plus-value à l'ensemble. Bref, on aurait aimé marcher. Sauf que, dans le fond, Arcardian nous sert un plat un peu trop familier, cuisinée en outre légèrement à la va-vite côté écriture. Et si la mise en scène … fatigue plus qu’elle ne génère de tension, l’interprétation aurait plutôt tendance à relever le niveau, avec un Nicolas Cage en mode sobre, par ailleurs quelque peu en retrait au sein de l'intrigue. En résumé, Nico a fait bien pire, mais disons que j'en espérais davantage.

EVERY LAST ONE OF THEM (2021)

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Manu  le 10/11/2024 à 18:47
Réalisé par Christian Sesma
Avec Paul Sloan, Jake Weber, Taryn Manning, Richard Dreyfuss, Michael Madsen.
Film américain
Genre : Policier
Durée : 1h 22min.
Année de production : 2021

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Every last one of them est le treizième long métrage du scénariste, producteur et réalisateur Christian Sesma. Le film est coécrit par Sesma et compte plusieurs de ses interprètes principaux parmi ses producteurs exécutifs (Richard Dreyfuss, Michael Madsen, Taryn Manning, Mike Hatton, Paul Sloan et Jake Weber). Il se situe dans la carrière de Dreyfuss entre le drame criminel Crime story d’Adam Lipsius et le western de Richard Gray, Murder at Yellowstone City. Revenge movie à la Get Carter / Taken, avec un petit côté westernien dans son cadre rural, Every last one of them aurait pu déboucher sur un DTV décent. La distribution compte quelques interprètes que l’on est n’est jamais mécontent de revoir, et qui n’ont en l’occurrence rien à se reprocher ici. La réalisation s’avère correcte à défaut d’innover. Mais on ne lui en demandait pas tant. Reste l’écriture. Et là, on nage vraiment dans le bas de gamme, avec des dialogues aussi médiocres que les personnages sont inconsistants et les situations convenues. Et pas un soupçon d’humour, de recul, pour corriger un peu le tir. Every last one of them donne jusqu’au bout dans un sérieux mélodramatique gênant, pour achever le spectateur lors d’une ultime séquence à la bêtise particulièrement puante.

THE LAST LETTER FROM YOUR LOVER (2021)

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Manu  le 09/11/2024 à 08:14
Réalisé par Augustine Frizzell
Avec Felicity Jones, Shailene Woodley, Callum Turner, Joe Alwyn, Nabhaan Rizwan.
Film anglais, français, canadien, espagnol
Genre : Romance
Durée : 1h 50min.
Année de production : 2021
Titre français : La Dernière lettre de son amant

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The Last letter from your lover est le second long métrage cinématographique d’Augustine Frizzell. Coécrit par Esta Spalding, scénariste ayant précédemment travaillé sur les séries Flashpoint, The Bridge ou encore Masters of sex, le film adapte le roman éponyme de la britannique Jojo Moyes, publié en 2011. Il se situe dans la carrière de Shailene Woodley entre le drame The Fallout de Megan Park et le thriller de Damián Szifron, To catch a killer. Du mélodrame pur et dur, à prendre pour l’amateur ou à laisser pour l’allergique, mais un titre qui, en tout cas, ne triche pas et fait correctement les choses dans son domaine. C’est soigné et rythmé côté réalisation, sans rature niveau interprétation - avec une presque ultime occasion de revoir à l’écran Ben Cross - et l’aspect prévisible de cette intrigue colle aux baskets du film jusqu’à son terme, l’écriture parvient tout de même à maintenir, chez le spectateur, un constant degré d’intérêt pour les personnages et l’issue de cette romance à double temporalité. Un film bien fait, mais strictement limité au cercle des amoureux d’histoires « à l’eau de rose », et qui ne donne pas spécialement confiance en la suite de la carrière d’Augustine Frizzell.

TRANSFORMERS: THE LAST KNIGHT (2017)

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Manu  le 08/11/2024 à 18:47
Réalisé par Michael Bay
Avec Mark Wahlberg, Anthony Hopkins, Josh Duhamel, Laura Haddock, Santiago Cabrera.
Film américain
Genre : Science-fiction
Durée : 2h 34min.
Année de production : 2017

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Treizième long métrage cinématographique du producteur et réalisateur Michael Bay, Transformers: The Last knight est le cinquième volet de la saga des Transformers. Le film est coécrit par Ken Nolan, précédemment scénariste du Black hawk down de Ridley Scott et de la mini-série The Company, réalisée par Mikael Salomon. Il se situe dans la carrière de Mark Wahlberg entre le drame Patriots day de Peter Berg et la comédie Daddy’s home 2 de Sean Anders. Un peu moins monotone dans son déroulé que l'épisode précédent, Transformers: Age of extinction, avec une ou 2 répliques amusantes en milieu de film - merci à Mark Wahlberg et sa mine d'ahuri - mais tout cela reste un (long) spectacle de fête foraine bourre-pif sans le moindre enjeu dramatique, ni la moindre tension, n'offrant aucune matière à défendre à ses comédiens. Et j’avoue n’avoir rien capté à toute la mythologie développée autour de Merlin et des chevaliers de la table ronde. Bref, une série qui malheureusement ne me semble pas s’améliorer au fil des épisodes. Par ailleurs, les volets suivants n'étant pas signés Bay, je compte, à tort ou à raison, arrêter les frais ici, au niveau de cette saga...

TRANSFORMERS: AGE OF EXTINCTION (2014)

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Manu  le 08/11/2024 à 17:27
Réalisé par Michael Bay
Avec Mark Wahlberg, Stanley Tucci, Kelsey Grammer, Nicola Peltz, Titus Welliver.
Film américain
Genre : Science-fiction
Durée : 2h 45min.
Année de production : 2014
Titre français : L'âge de l'extinction

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Transformers : Age of extinction est le onzième long métrage cinématographique de Michael Bay. Le film est écrit par Ehren Kruger, précédemment scénariste du Scream 3 de Wes Craven et Reindeer games de John Frankenheimer, ainsi que des volets 2 et 3 de la franchise Transformers, déjà réalisés par Bay. Il se situe dans la carrière de Mark Wahlberg entre le film de guerre Lone survivor de Peter Berg et le drame criminel The Gambler de Rupert Wyatt Le cinéma bourratif de Michael Bay a plutôt tendance à m'amuser, en règle générale. Là, son Transformers: Age of extinction m'a juste un peu ennuyé. Pourtant l'habituelle générosité excessive de bonhomme est au rendez-vous dans ce raz de marée d'action spectaculaire enrobée d'humour un peu couillon. Le problème est que ce quatrième volet m'a semblé ne strictement rien apporter de plus à ce que le cinéaste nous avait déjà proposé sur les précédents opus, faisant de ces 2h45 d'intrigue creuse sur personnages transparents une blague un peu longue pour moi. Bref, toujours mieux qu'un Pearl Harbor, mais, après un Pain & gain relativement prometteur, ça reste un petit Bay qui stagne dans la redite.

MUZZLE (2023)

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Manu  le 04/11/2024 à 21:19
Réalisé par John Stalberg Jr.
Avec Aaron Eckhart, Penelope Mitchell, Diego Tinoco, Stephen Lang, Nick Searcy.
Film américain
Genre : Policier
Durée : 1h 39min.
Année de production : 2023

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Muzzle est le quatrième long métrage cinématographique du scénariste, producteur et réalisateur John Stalberg Jr. Le film est écrit par Carlyle Eubank, précédemment coscénariste du The Signal de son frère, William Eubanks, et de Crypto, second long de Stalberg Jr. Il se situe dans la carrière d’Aaron Eckhart entre le film d’action Ambush de Mark Burman et le drame rural Rumble through the dark de Graham et Parker Phillips. Bien que partiellement tourné à Louisville, dans l’état du Kentucky, Muzzle se démarque du tout-venant principalement à travers sa vision bien à lui de Los Angeles, un peu exagérément crépusculaire à mon gout. Immeubles invariablement glauques ou délabrés, villas à l'abandon, déferlante de sans-abris dans les rues, appart du personnage principal qui explique à lui seul son état suicidaire : le polar urbain de Stalberg Jr. ne donne assurément pas dans la carte postale touristique. Bref, la désolation à tous les étages, mais filmée avec parfois de l'idée, comme c’était déjà le cas sur l’autrement décevant Crypto. Ce qui donne au final un petit DTV non dépourvu de cachet (comme Crypto, quoi…), soigné, solidement interprété, globalement à peu près regardable en dépit d’une intrigue policière des plus sommaires, voyant Aaron Eckhart traquer les responsables de la mort de son partenaire, Ace, un chien policier, à travers une partie des lieux susnommés. Pas tout à fait convaincu donc, mais malgré tout dans l’attente des prochains travaux de ce Stalberg Jr.

AIR (2023)

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Manu  le 02/11/2024 à 08:46
Réalisé par Ben Affleck
Avec Matt Damon, Jason Bateman, Ben Affleck, Chris Messina, Chris Tucker.
Film américain
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h 51min.
Année de production : 2023

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Air le cinquième long métrage de l’acteur, producteur et réalisateur Ben Affleck. Ecrit par le nouveau venu Alex Convery, il est notamment produit par Affleck, son interprète principal Matt Damon et le vétéran Peter Guber. Notons également qu’il s’agit du premier film de Damon tourné sous la direction de son vieux complice Affleck. Jusqu’à présent toujours un peu sur la réserve quant aux essais de Ben Affleck derrière la caméra, j’avoue avoir, cette fois, apprécié sans condition ce biopic sportif aux ambitions plus modestes que les précédents travaux du cinéaste, mais au résultat plus probant selon moi, à la fois dans l’esprit comme dans l’exécution. Soit un traitement clinquant et insouciant comme ont pu l’être les années 80, infusant drôlerie, émotion contrôlée et nostalgie tout en affichant une palpable pertinence quant à son regard sur le sport business, à travers un cas d’école ayant changé la donne au sein de cet univers. Bref, un film malin, en phase avec son sujet, savoureux et pêchu à l’image de son interprétation, dominé par un Matt Damon donnant franchement l’air de bien s’éclater.

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