ORDEAL BY INNOCENCE (1984)
Manu le 27/01/2025 à 09:18
Réalisé par Desmond Davis
Avec Donald Sutherland, Sarah Miles, Christopher Plummer, Ian McShane, Faye Dunaway.
Film anglais
Genre : Policier
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1984
Titre français : Témoin indésirable
Musique : Dave Brubeck

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Donald Sutherland, Sarah Miles, Christopher Plummer, Ian McShane, Faye Dunaway.
Film anglais
Genre : Policier
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1984
Titre français : Témoin indésirable
Musique : Dave Brubeck

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.3
Ordeal by innocence est le dernier des sept longs métrages tournés par le britannique Desmond Davis pour le grand écran entre 1964 et 1984. Le film adapte le roman éponyme d’Agatha Christie, originellement publié en 1958. Il se situe dans la carrière de Donald Sutherland entre la comédie policière Crackers de Louis Malle et la chronique adolescente Heaven help us de Michael Dinner. La première des 3 adaptations d'Agatha Christie chapeautées par la Cannon, avant le relaxant Appointment with death de Michael Winner et l'affreux Ten Little indians d'Alan Birkinshaw. Et sans doute la meilleure du lot, même si ce Ordeal by innocence ne constitue en rien une œuvre mémorable.
Plus que son intrigue policière, je retiens ici l'atmosphère rétro de l’œuvre, et le soin avec lequel Desmond Davis filme cette petite ville côtière anglaise, qui m'a par moment rappelé son précédent I was happy here, dont une partie de l’intrigue se déroulait dans un environnement similaire.
Côté interprétation, Sutherland traverse le film plutôt nonchalamment, les mains dans son paletot, Faye Dunaway et Ian McShane ont des rôles relevant davantage de la simple participation, et Sarah Miles joue, assez curieusement, la fille de Dunaway. Ce qui donne lieu à une scène un brin surréaliste - la seule les réunissant, dans laquelle Sarah se prend une petite remontée de bretelles par maman Dunaway.
Bref, pantouflard donc, mais avec un brin d’atmosphère (liée également au score jazzy pas toujours adéquate de Dave Brubeck).

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