NIGHTMARES & DREAMSCAPES - THE FIFTH QUARTER (TV) (2006)

(1) critique (0) commentaire

Manu le 17/02/2012 à 18:38

2.4

Réalisé par Rob Bowman
Avec Jeremy Sisto, Samantha Mathis, Christopher Morris, Christopher Kirby.
Moyen métrage américain
Genre : Policier
Durée : 44min.
Année de production : 2006
Titre français : Quatuor à cinq
Musique : Jeff Beal

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.4

Critique NIGHTMARES & DREAMSCAPES - THE FIFTH QUARTER (TV) (2006)

Avis rédigé par Manu | le 17/02/2012. | Note : 2.4

The Fifth quarter est le sixième épisode de la courte anthologie – 8 volets en tout – des Nightmares & dreamscapes : from the stories of Stephen King, série qui, comme son titre l’indique, s’inspire des écrits de Stephen King. Filmé en Australie – comme tous les volets de la série – il est signé par l’un des piliers de la série X Files, réalisateur pour le grand écran de Reign of fire et Elekra. Plus intéressant à mon goût, The Fifth quarter fait appel, à l’écriture, à l’écossais Alan Sharp, l’un des plus importants scénaristes du cinéma américain de la période 70, auteur des scripts de The Hired hand, The Last run ou encore Night moves.

Tous ces paramètres pris en compte, il faut bien reconnaitre que le résultat n’a rien de mirobolant. Principalement parce que la nouvelle de King dont ce récit est l’adaptation, publiée par le maître de la terreur en 1972 dans le magazine pour homme Cavalier, est loin de compter parmi ses plus illustres écrits. Il s’agit d’un récit policier standard qu’il aurait été sans doute plus judicieux de traiter comme tel plutôt que de tenter de lui conférer une petite dimension horrifique, comme Rob Bowman semble s’évertuer à le faire sur certaines séquences, sans vraiment que cela ne prenne. On ne peut pas dire que ce soit mal écrit, ni mal interprété, mais traité de la sorte l’ensemble demeure tout simplement plat. Par ailleurs, gros point noir, peut-être dans le but de « meubler » l’écran, les auteurs font un usage particulièrement abusif de la musique de Jeff Beal, laquelle devient par conséquent vite fatigante.

Au final, très moyennement convaincant dans le contenu, malgré un habillage de qualité et une durée adéquate.

Rechercher avec google