FINAL DESTINATION 2 (2003)

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Manu le 15/01/2017 à 08:49

3.2

Réalisé par David R. Ellis
Avec Ali Larter, A.J. Cook, Michael Landes, David Paetkau, Tony Todd.
Film américain, canadien
Genre : Epouvante
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2003
Titre français : Destination finale 2
Musique : Shirley Walker

Sortie Cinéma France : 09/04/2003
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.2

Critique FINAL DESTINATION 2 (2003)

Avis rédigé par Manu | le 15/01/2017. | Note : 3.2

Suite du Final destination de James Wong sorti 2000, Final destination 2 est le second des sept longs métrages signés par l’ancien coordinateur des cascades, et ex-assistant de Steve Miner, Phillip Noyce et Michael Apted notamment, David R. Ellis. Coécrit par Eric Bress et J. Mackye Gruber, futurs scénaristes / réalisateurs de The Butterfly effect et créateurs de la série de science-fiction Kyle XY, il demeure à ce jour l’opus le moins rentable de la franchise des Final destination en terme de résultat au box-office.

Petite mais néanmoins bonne surprise que ce suspense horrifique 100% pop-corn, nettement moins constipé que son modèle et – les 2 allant de pair - deux fois plus divertissant. Après, je ne suis pas non plus en train de dire qu’il s’agit d’un film marquant… Final destination 2 est un titre en tout point mineur, au scénario ne s’embarrassant d’aucune subtilité, à ne pas étudier à la loupe côté vraisemblance, à l’interprétation inodore et à la réalisation en éveil uniquement sur les séquences d’action et meurtres.

Mais voilà, il se trouve que les séquences d’action et de meurtres sont, justement, très bien emballées, énergiques, riches d’un suspense tout en ironie décomplexée, qui donnent un caractère éminemment sympathique à toute l’entreprise. Par ailleurs, le film s’ouvre sur une excitante scène de carambolage, « visualisé » par l’héroïne, qui tire clairement tout ce qui suit vers le haut, et derrière laquelle l’on sent bien à la manœuvre l’homme notamment derrière la scène d’action autoroutière de Patriot game.

Inconsistant dans le fond, marqué d’un mélange bien de son époque d’humour quasi parodique pas très fin et de gore qui ne tâche pas trop, mais mené avec dynamisme et beaucoup de savoir-faire dans l’action pure.

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