HAUNTS OF THE VERY RICHS (TV) (1972)
Manu le 26/07/2022 à 18:06
Réalisé par Paul Wendkos
Avec Lloyd Bridges, Cloris Leachman, Edward Asner, Anne Francis, Donna Mills.
Téléfilm américain
Genre : Fantastique
Durée : 1h 15min.
Année de production : 1972
Musique : Dominic Frontiere
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Lloyd Bridges, Cloris Leachman, Edward Asner, Anne Francis, Donna Mills.
Téléfilm américain
Genre : Fantastique
Durée : 1h 15min.
Année de production : 1972
Musique : Dominic Frontiere
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique HAUNTS OF THE VERY RICHS (TV) (1972) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.5
Haunts of the very rich est l’un des six téléfilms signés par Paul Wendkos au cours de la seule année 1972, possiblement la période la plus productive de toute sa carrière. Cette production ABC marque la seconde des trois collaborations entre Wendkos et le scénariste William Wood, 9 ans après l’épisode « Lion on fire » de la série The Greatest show on earth et 13 ans avant le drame The Execution, interprété par Rip Torn et Sandy Dennis.Fable horrifique permettant à Wendkos de revenir sur les terres de Fear no evil, l’une de ses plus évidentes réussites, Haunts of the very rich repose sur une situation de type The Twilight Zone encore relativement originale pour l’époque. Le casting proposant en outre du solide à ce niveau, on était en droit d’espérer un opus de bonne tenue au sein de la dense filmographie de son réalisateur, voire davantage.
Pourtant c’est un sentiment de déception qui, très vite, vient altérer le plaisir attendu. Souffrant quelque part des mêmes maux que les A tattered web et The Strangers in 7A tournés à la même époque par Wendkos, Haunts of the very rich se voit rapidement freiné dans ses prometteurs élans horrifico-philosophiques par une écriture extrêmement pataude, abattant laborieusement ses cartes, entre bavardages sur-explicatifs et leçons de vie soap-opératiques.
En résulte 75 minutes paraissant malheureusement en durer 30 de plus, et une occasion manquée de se distinguer pour Wendkos, dont la réalisation ne retrouve que très succinctement l’inspiration visuelle de Fear no evil (essentiellement dans ses toutes dernières minutes, en fait).
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