LEGALLY BLONDES (2009)

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Manu le 17/01/2013 à 18:01

0.4

Réalisé par Savage Steve Holland
Avec Milly Rosso, Becky Rosso, Christopher Cousins, Brittany Curran, Curtis Armstrong.
Film américain
Genre : Comédie
Durée : 1h 26min.
Année de production : 2009
Titre français : Blondes pour la vie
Musique : John Coda

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

0.4

Critique LEGALLY BLONDES (2009)

Avis rédigé par Manu | le 17/01/2013. | Note : 0.4

Legally Blondes est le troisième et à ce jour dernier volet de la franchise cinématographique des Legally Blonde inaugurée en 2001 par Robert Luketic. Reese Witherspoon, vedette des deux premiers opus, se contente ici de coproduire l’affaire, laissant les rôles-titres aux jumelles Becky et Milly Rosso, actrices anglaises aperçues précédemment dans la série The Suite life of Zack and Cody produite par la chaîne Disney Channel. Celles-ci interprètent les rôles d’Annie et Izzy Woods, petites cousines d’outre Atlantique du personnage incarné par Witherspoon dans les deux précédents volets.

En un mot : Con-ster-nant. Cela faisait en tout cas longtemps que je n’avais pas vu une horreur de ce calibre … et il va clairement falloir que je me tape un paquet de DTV SyFy pour espérer trouver un truc pire que ça avant la fin de l’année. Pour faire court (comme le film, qui tourne en durée autour des 75 minutes, hors « end crédits » … et rame méchamment pour les remplir), disons que tout ou presque est à la fois hideux et crétin là-dedans. De la réalisation au scénario en passant par l’interprétation, il n’y a rien à sauver. Même le pseudo bêtisier du générique est navrant. Bref, c’est à vomir. Au bout de 5 minutes de film, on n’a plus qu’une seule envie : faire taire les deux héroïnes façon « Django unchained » en mode vengeance (celles-ci n’ont d’ailleurs plus rien tourné depuis cet essai… on ne se demande pas pourquoi en découvrant leurs prestations…).

Tout ça pour dire que j’ai jusqu’à maintenant essayé de garder un œil sur la carrière de Savage Steve Holland, en souvenir de ses sympathiques premiers films, mais qu’après un truc pareil - et déjà bien échaudé par les précédents Stuck in the suburbs et Ratko : The Dictator’s son - je crois que je vais prendre mes distances avec lui pour un petit moment.

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