7 PISTOLE PER UN MASSACRO (1967)
Manu le 12/09/2022 à 11:26
Réalisé par Mario Caiano
Avec Craig Hill, Giulia Rubini, Piero Lulli, Eduardo Fajardo, Nello Pazzafini.
Film italien, espagnol
Genre : Western
Durée : 1h 25min.
Année de production : 1967
Titre français : Adiós hombre
Musique : Francesco De Masi
Sortie Cinéma France : 04/09/1968
Sortie DVD France : n.c.
Avec Craig Hill, Giulia Rubini, Piero Lulli, Eduardo Fajardo, Nello Pazzafini.
Film italien, espagnol
Genre : Western
Durée : 1h 25min.
Année de production : 1967
Titre français : Adiós hombre
Musique : Francesco De Masi
Sortie Cinéma France : 04/09/1968
Sortie DVD France : n.c.
Critique 7 PISTOLE PER UN MASSACRO (1967) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.6
7 pistole per un massacro est le quatorzième long métrage cinématographique de Mario Caiano. Cette coproduction italo-espagnole marque la troisième collaboration de Caiano avec le scénariste et producteur ibérique Eduardo Manzanos, ainsi que son sicième long relevant du genre western. Le film se situe dans la carrière de l’américain Craig Hill entre la comédie de George Sidney, The Swinger, et l’autre western européen, 15 forche per un assassino, signé Nunzio Malasomma.Un western spaghetti parmi d’autres, pour résumer au mieux la chose, emballé par un professionnel du cinéma de genre italien que l’on a toutefois connu plus inspiré. A la (semi) défense de Caiano, on va dire que le script, coécrit de sa plume, ne lui permettait de toute façon pas de signer une perle du genre, son intrigue se contentant d’empiler les figures imposées du genre spaghetti.
Héros socialement déclassés, notables corrompus, bagarres de saloon et sanglants règlements de compte peuplent ainsi ce film de série sans âme mais non sans rythme. Rien de neuf dans l’écriture, comme dans l’exécution, dynamique à défaut d’être foncièrement inventive, ou même du côté de l’interprétation, Eduardo Fajardo volant ici aisément la vedette au relativement placide Hill.
Bref un petit film très moyennement inspiré, mais avec du métier dedans, permettant à l’amateur de bisseries sixties de ne jamais s’ennuyer, quand bien même il conviendra que ce Caiano-là n’a point les atouts nécessaires pour marquer l’histoire de sa jolie filmographie.
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