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FIERAS SIN JAULA (1971)

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Léo le 02/08/2013 à 17:31
2.5
Réalisé par Juan Logar
Avec Juan Luis Galiardo, Curd Jürgens, Rosalba Neri, Emma Cohen.
Film espagnol, italien, français
Genre : Drame, Thriller
Durée : 1h 20min
Année de production : 1971
Titre français : Fauves en liberté
Musique : Piero Piccioni

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.5



 Critique FIERAS SIN JAULA (1971)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 2.5
Coproduction franco-italo-espagnole tourné à Paris et en Bretagne, Fieras sin jaula est le troisième long métrage du scénariste et réalisateur Juan Logar. Il s’agit apparemment là de son film le plus connu… c’est dire le peu de visibilité dont semble souffrir son œuvre, à ce jour du moins.

Maintenant, si le reste de sa filmographie est du même acabit, pas sûr que la découverte de son œuvre s’impose au cinéphile comme une priorité absolue. Généralement, et quelque peu hâtivement, classé dans la catégorie « giallo de type machination », Fieras sin jaula pourrait davantage se définir comme une version bis du drame criminel bourgeois à la Chabrol, avec, au centre du récit, l’incontournable trio « mari cocu / amant beau gosse / femme adultère vénale ».

Fort de cette équation à digressions multiples, Fieras sin jaula brode un canevas à suspense en mode huis clos, agrémenté d’une sous intrigue impliquant la fille de l’homme trompé, qui ne mène à vrai dire nulle part, et de quelques flash backs purement fonctionnels. Bref, rien de bien folichon au programme. L’ensemble se suit de loin, sans implication réel, possédant juste pour lui son parfum aujourd’hui suranné et un score pop de Piero Piccioni particulièrement agréable à l’oreille.

Maintenant, à la défense de ce Fieras sin jaula, je dirais que la copie française dans laquelle je l’ai vu ne présente certainement pas le film sous son meilleur jour. Couleurs fanées, format d’origine probablement pas respecté (à vérifier) et montage au couteau rouillé, qui sent le saucissonnage visant à ne pas dépasser les 90 minutes imposées pour son exploitation en salles de quartier : sous cette piteuse présentation couve peut-être quelque chose de plus stimulant. On a le droit de rêver, mais je doute tout de même que l’on dépasse le stade de la curiosité bis sympathique, même revu dans un habillage plus respectueux du travail de Juan Logar.


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