FEMINA RIDENS (1969)
Manu le 19/10/2024 à 18:13
Réalisé par Piero Schivazappa
Avec Philippe Leroy, Dagmar Lassander, Lorenza Guerrieri, Varo Soleri, Mirella Pamphili.
Film italien
Genre : Thriller
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1969
Titre français : Le Duo de la mort
Musique : Stelvio Cipriani

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Philippe Leroy, Dagmar Lassander, Lorenza Guerrieri, Varo Soleri, Mirella Pamphili.
Film italien
Genre : Thriller
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1969
Titre français : Le Duo de la mort
Musique : Stelvio Cipriani

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
![]() |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.2
Femina ridens est le premier long métrage cinématographique du scénariste et réalisateur Piero Schivazappa, ancien assistant de Valerio Zurlini. Le film est notamment écrit par Schivazappa lui-même et Paolo Levi, coscénariste du Troppo per vivere… poco per morire de Michele Lupo. Il se situe dans la carrière de Philippe Leroy entre le suspense Senza sapere niente di lei de Luigi Comencini et la comédie fantastique L’inafferrabile invincibile Mr. Invisibile d4antonio Margheriti.Réflexion sur les rapports homme-femme, l’éternelle dualité peur / attraction entre les 2 sexes et les pulsions sado-masochistes se nichant au cœur de ces ambivalents sentiments, Femina ridens est généralement un brin sommairement étiquetée thriller / giallo, en lien avec ce que laisse imaginer sa trame générale. Mais il va sans dire que l’œuvre est bien plus qu’une simple histoire de kidnapping.
Titre au croisement des cinémas de Marco Ferreri, Massimo Dallamano, Radley Metzger et Pasquale Festa Campanile, Femina ridens souffre sans doute d’un petit déficit de personnalité à la barre, Schivazappa n’ayant probablement pas l’imagination aussi fertile, et parfois aussi déviante, que celle de ses collègues pré-cités. Mais son essai mérite malgré tout largement le coup d’œil, ne serait-ce que pour son ambiance pop-psychédélique aux petits oignons, les compositions, assurément à retenir dans leurs carrières, de Philippe Leroy et Dagmar Lassander, le score maxi-groovy de stelvio Cipriani, parmi les plus mémorables de ce compositeur.
Bref, l’esthétique comme la réflexion sont certainement datés, mais c’est aussi ce qui fait le charme de cette œuvre malgré tout constamment stimulante, si limitée dans ce qu’elle raconte.

Dernières critiques ciné


Dernières critiques livres


Derniers commentaires





