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CRIMETIME (1996)

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Manu le 13/06/2025 à 12:27
2.1
Réalisé par George Sluizer
Avec Stephen Baldwin, Pete Postlethwaite, Sadie Frost, Géraldine Chaplin, Karen Black.
Film américain, anglais
Genre : Thriller
Durée : 1h 58min.
Année de production : 1996
Musique : David A. Stewart

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.1



 Critique CRIMETIME (1996)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 2.1
Crimetime est le huitième long métrage cinématographique du documentariste et réalisateur de fictions néerlandais George Sluizer. Cette coproduction américano-britannique marque les débuts de la courte carrière de scénariste de Brendan Somers. Elle réunit 2 des interprètes du The Usual suspects, de Bryan Singer, sorti 1 auparavant, Stephen Baldwin et Pete Postlethwaite, et se situe dans la carrière de Sadie Frost entre la comédie romantique A pyromaniac’s love story de Joshua Brand et le drame historique Bent de Sean Mathias.

Quelques réminiscences du précédent L'homme qui voulait savoir du même Sluizer dans cette histoire d'association contre nature, mêlant défiance et fascination, entre un brillant acteur débutant (Baldwin, épouvantable la plupart du temps) et un serial-killer collectionneur d’œil (Postlethwaite, dont je n'ai pu jamais écrire le nom sans le relire 3 fois avant !).

Le film se veut plein de choses parmi lesquelles une critique de la télévision poubelle, mais c'est surtout un beau et nébuleux bordel dans lequel Géraldine Chaplin trouve l'un des rôles les plus ingrats de sa carrière, Marianne Faithfull vient mystérieusement chanter 3 chansons (dont 2 coécrites par Angelo Badalamenti) et le spectateur se demande ce qu'il fait là et comment il doit interpréter la dernière scène de ce gros micmac.

Au milieu de cette confusion générale, une certitude demeure néanmoins : Sadie Frost était un vrai p'tit boulet de canon en 1996 (expression déjà périmée, à l'époque, il me semble). Pour le reste, l’envie de bien faire, de provoquer, est certes louable, évoquant presque par moment le cinéma du plus célèbre confrère néerlandais de Sluizer, Paul Verhoeven, mais rien ne suite derrière, entre un fond archi brouillon et lourdingue et une forme bradée, totalement refroidissante.


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