DEEP RED (TV) (1994)
Manu le 18/06/2018 à 18:30
Réalisé par Craig R. Baxley
Avec Michael Biehn, Joanna Pacula, Tobin Bell, John Kapelos, Jesse Vint.
Téléfilm américain
Genre : Science-fiction
Durée : 1h 21min.
Année de production : 1994
Titre français : Red Alien
Musique : Gary Chang
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Michael Biehn, Joanna Pacula, Tobin Bell, John Kapelos, Jesse Vint.
Téléfilm américain
Genre : Science-fiction
Durée : 1h 21min.
Année de production : 1994
Titre français : Red Alien
Musique : Gary Chang
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique DEEP RED (TV) (1994) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.4
Deep red est le sixième long métrage réalisé par l’ancien cascadeur et réalisateur de seconde équipe Craig R. Baxley. Originellement diffusé sur l’alors toute jeune chaîne Sci-Fi Channel (devenue aujorud’hui Syfy), il est écrit et produit par D. Brent Mote, futur cocréateur de la série Warehouse 13, diffusée sur Syfy entre 2009 et 2014. Notons enfin que Michael Biehn et Joanna Pacula s’étaient croisés au générique du prestigieux Tombstone 1 an auparavant.Sans nul doute envisagé par ses créateurs comme un potentiel téléfilm pilote de série télé, Deep red tente le mélange néo-noir / science-fiction au sein d’une histoire qui ne va curieusement pas sans rappeler le précédent Dark angel du même Craig R. Baxley. Le cocktail n’est donc pas intégralement original, mais qu’importe, avec son casting agréablement bis et son réalisateur au CV jusqu’alors fort sympathique, il n’était pas insensé d’envisager ici une petite bande d’action amusante… à la Dark angel justement.
Malheureusement, c’est le service minimum qui nous est offert. Le moins que l’on puisse dire est que le script ne déborde pas d’idées, avec une partie « film noir » flirtant presque avec la parodie, un aspect science-fictionnel relativement paresseux avec son décorum fauché – les armes futuristes semblant sortir d’un film de science-fiction des années-40-50 – et son méchant savant fou à 3 francs 6 sous. Quant à la réalisation, elle fait le job mais rien de plus, un peu coincée qu’elle est, il est vrai, par la maigreur des moyens mis en œuvre.
Bref, un produit standard de son époque, prioritairement destiné aux amoureux des années 90, qui apprécieront certainement la « macho men attitude » de Michael Biehn et l’ambiance musicale synthétique planante de l’œuvre, typique de ces années-là.
Dernières critiques ciné
Dernières critiques livres
Derniers commentaires
Salut l'artiste !
2024 ans
Louis Gossett Jr.
(0000-2024)
(0000-2024)
2.55