EXCESS BAGGAGE (1997)
Manu le 21/06/2023 à 19:24
Réalisé par Marco Brambilla
Avec Alicia Silverstone, Benicio Del Toro, Christopher Walken, Harry Connick Jr., Jack Thompson.
Film américain
Genre : Romance
Durée : 1h 41min.
Année de production : 1997
Musique : John Lurie

Sortie Cinéma France : 08/07/1998
Sortie DVD France : n.c.
Avec Alicia Silverstone, Benicio Del Toro, Christopher Walken, Harry Connick Jr., Jack Thompson.
Film américain
Genre : Romance
Durée : 1h 41min.
Année de production : 1997
Musique : John Lurie

Sortie Cinéma France : 08/07/1998
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.8
Produit par son actrice principale, Alicia Silverstone, Excess baggage est notamment écrit par le binôme Dick Clement & Ian La Frenais, scénaristes entre autre du The Prisoner of Zenda version Richard Quine, The Commitment d’Alan Parker et du subséquent The Bank job de Roger Donaldson. Il marque la troisième rencontre à l’écran entre Christopher Walken et Benicio Del Toro, après le Basquiat de Julian Schnabel en 1995 et The Funeral d’Abel Ferrara, 1 an plus tard. Clairement plus fréquentable que sa misérable réputation ne me le laissait craindre, ce second (et dernier à ce jour) long de Marco Brambilla n’est cependant pas un titre qui risque de figurer dans mon top Del Toro ou Walken, ce dernier se contentant d’ailleurs d'un second rôle assez mal défini - à cheval entre le tonton gâteau et son classique numéro de truand psychopathe - quelque part à l’image de l’absence de cohésion définissant cet Excess baggage.
Il semblerait en effet que le film ait connu quelques phases de réécriture (dont l'une assurée par Aaron Sorkin), et cela s'en ressent dans sa tonalité flottante, son écriture qui, bien que parfois inspirée côté dialogues, échoue à cimenter ce cocktail de romance et comédie policière, rendant l’ensemble non seulement incertain, mais presque laborieux par moment.
Maintenant, difficile de totalement rejeter ce curieux petit objet, car reste tout de même la photo d'Escoffier, la musique de John Lurie, la belle gueule de Benicio Del Toro et l'absence générale de prétention pour faire passer sans douleur le caractère indécis de cette sucrerie nineties.

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