ONCE UPON A TIME IN VENICE (2017)
Manu le 07/06/2020 à 21:25
Réalisé par Mark Cullen
Avec Bruce Willis, John Goodman, Jason Momoa, Emily Robinson, Thomas Middleditch.
Film américain
Genre : Policier
Durée : 1h 34min.
Année de production : 2017
Titre français : L.A. Rush
Musique : Jeff Cardoni
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Bruce Willis, John Goodman, Jason Momoa, Emily Robinson, Thomas Middleditch.
Film américain
Genre : Policier
Durée : 1h 34min.
Année de production : 2017
Titre français : L.A. Rush
Musique : Jeff Cardoni
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique ONCE UPON A TIME IN VENICE (2017) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.4
Once upon a time in Venice est le premier long métrage cinématographique de l’également scénariste et producteur Mark Cullen. Ecrit par Cullen lui-même et son frère Robb, le film marque les retrouvailles du duo avec l’acteur Bruce Willis, pour lequel les deux frangins avaient écrit en 2010 le buddy movie Cop out, réalisé par Kevin Smith.Comédie policière lorgnant gentiment du côté du Long goodbye de Robert Altman, à la fois dans sa structure narrative « éparpillée », son cadre géographique californien et son approche parfois à la lisière de la parodie du film noir, catégorie détective privé, Once upon a time in Venice a pour grand - et pratiquement seul - mérite de pousser Bruce Willis à donner de sa personne comme il ne l’avait pas fait depuis fort longtemps.
En ex-flic devenu privé un brin loser, accessoirement légende vivante de son quartier, Willis récupère donc un vrai premier rôle, et se voit naturellement contraint d’en faire un peu plus que d’habitude. Le problème, justement, est que sa prestation respire davantage la contrainte que le plaisir retrouvé de jouer. Bruce fait le job, mais l’on sent bien que la motivation n’est pas franchement au rendez-vous. Et comme l’écriture relève globalement du tout juste convenable, la partie humoristique faisant notamment systématiquement « pschitt », le résultat laisse sur la forte impression d’un come-back loupé pour la star déchue des Die Hard.
Déception donc, que vient malgré tout tempérer le maigre plaisir de voir Willis se bouger un peu, entouré d’interprètes un peu plus charismatiques que ceux qu’il fréquente à longueur d’année dans les interchangeables production EFO films, et, côté technique, la satisfaction d’une photographie qui claque, signé du roi du filtre Amir Mokri (Blue steel, Bad boys II, fast & furoius, Man of steel) – à se demander d’ailleurs comment celui-ci a atterri sur une production d’un aussi modeste calibre.
Regardable, mais définitivement médiocre.
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