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Manu le 03/09/2022 à 08:11
3.2
Réalisé par Jerrold Freedman
Avec Ken Olin, Margaret Colin, Annabella Price, Michael C. Gwynne, Bruce McGill.
Téléfilm américain
Genre : Policier
Durée : 1h 28min.
Année de production : 1990
Titre français : Homicide volontaire
Musique : Patrick Williams

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.2



 Critique GOODNIGHT SWEET WIFE: A MURDER IN BOSTON (TV) (1990)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 3.2
Goodnight sweet wife: A murder in Boston est l’antépénultième long métrage du scénariste, producteur et réalisateur Jerrold Freedman. Cette coproduction télévisée CBS est écrite par Daniel Freudenberger, scénariste d’épisodes des séries The Fall guy, Blue Thunder, Cagney & Lacey ou encore Early edition. On notera par ailleurs que c’est ici la dixième et dernière fois que Freedman dirige son acteur fétiche, Michael C. Gwynne.

Evocation d’une affaire criminelle survenue à Boston fin 1989, Goodnight sweet wife : A murder in Boston situe une fois de plus le travail de Freedman au-dessus du tout venant en matière de réalisations pour le petit écran. Le télé / cinéaste aura en effet moins mais sans doute mieux tourné que ses confrères Paul Wendkos, Lee H. Katzin ou encore Richard A. Colla, proposant toujours des mises en scène plus travaillées, notamment en terme d’atmosphère.

On retiendra ainsi l’approche clinique, presque naturaliste par moment, de sa mise en scène, qui ne fait par exemple intervenir le score de Patrick Williams qu’à la dix-neuvième minutes de l’œuvre, et opte pour une vue d’ensemble sans commentaire de cette affaire, suivant en parallèle les pérégrinations du meurtrier, le travail de la police et celui-ci des journalistes en s’arrêtant le temps de 2 ou 3 séquences sur l’impact de cette tragédie sur la communauté afro-américaine de Boston.

Maintenant, si l’interprétation demeure solide, on pourra regretter le classicisme de l’écriture, purement factuelle là où il y avait incontestablement matière à travailler le background socio-géographique de ce drame et approfondir la psyché de son personnage principal. En l’état, on peut regretter que Goodnight sweet wife : A murder in Boston ne soit qu’un solide téléfilm aussi sec et froid que son glaçant anti-héros.


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