7 UOMINI D'ORO (1965)
Manu le 29/04/2025 à 18:09
Réalisé par Marco Vicario
Avec Rossana Podestà, Philippe Leroy, Gastone Moschin, Giampiero Albertini, Manuel Zarzo.
Film italien, espagnol, français
Genre : Policier
Durée : 1h 35min.
Année de production : 1965
Titre français : Sept hommes en or
Musique : Armando Trovajoli

Sortie Cinéma France : 18/03/1966
Sortie DVD France : n.c.
Avec Rossana Podestà, Philippe Leroy, Gastone Moschin, Giampiero Albertini, Manuel Zarzo.
Film italien, espagnol, français
Genre : Policier
Durée : 1h 35min.
Année de production : 1965
Titre français : Sept hommes en or
Musique : Armando Trovajoli

Sortie Cinéma France : 18/03/1966
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.1
7 Uomini d’oro est le troisième long métrage cinématographique de l’acteur, scénariste, producteur et réalisateur Marco Vicario. Le film est écrit par Vicario lui-même et met en scène son épouse, Rossana Podestà. Il se situe dans la carrière du français Philippe Leroy entre le suspense La Donna del lago de Luigi Bazzoni et Franco Rossellini et la comédie Una vergine per il principe de Pasquale Festa Campanile.Sous-genre fécond de la décennie 60, le film de casse « pour rire » aura notamment pas mal inspiré le cinéma italien, lui-même quelque part pionnier en la matière via son séminal I Soliti ignoti. Parmi les dizaines de titres composant cette mouvance se trouve donc ce 7 uomini d’oro, joli succès public en son temps, ayant même généré une suite, 1 an plus tard.
Jouant un peu plus la carte du suspense sophistiqué que celle de l’humour, 7 uomini d’oro a inévitablement largement perdu de son caractère spectaculaire aujourd’hui. Et tout ce qui pouvait éventuellement impressionner dans l’exécution de cet audacieux cambriolage de banque suisse en plein cœur de Genève aurait aujourd’hui plutôt tendance à faire sourire. Par ailleurs, le volet « comédie » du film, attendu, voire pesant, n’étant clairement pas son point fort, il va sans dire que l’espoir de découvrir ici un petit classique oublié du cinéma populaire italien période sixties s’étiole assez rapidement.
Reste donc la bonne humeur communicative que parviennent à transmettre les comédiens, l’énergique score jazzy d’Armando Travajoli et, dans une moindre mesure, la réalisation colorée de Vicario, cinéaste derrière lequel me semble se dessiner, au fil des découvertes, un amateur de bons coups cinématographiques davantage qu’un artisan inspiré du cinéma grand public transalpin.

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