MASTERS OF HORROR: THE DAMNED THING (TV) (2006)
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Manu le 29/10/2025 à 13:31
Réalisé par Tobe Hooper
Avec Sean Patrick Flanery, Marisa Coughlan, Brendan Fletcher, Brent Stait, Ted Raimi.
Moyen métrage canadien, américain
Genre : Epouvante
Durée : 0h 57min.
Année de production : 2006
Titre français : Les Forces obscures
Musique : Nicholas Pike

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Sean Patrick Flanery, Marisa Coughlan, Brendan Fletcher, Brent Stait, Ted Raimi.
Moyen métrage canadien, américain
Genre : Epouvante
Durée : 0h 57min.
Année de production : 2006
Titre français : Les Forces obscures
Musique : Nicholas Pike
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.2
The Damned thing est le premier volet de la seconde et dernière saison de l’anthologie Masters of horror. Ecrit par Richard Christian Matheson, précédemment coscénariste du Three o’clock high de Phil Joanou et Full eclipse d’Anthony Hickox, il adapte la nouvelle homonyme d’Ambrose Pierce, originellement publiée en 1893. Cet essai se situe dans la carrière de Sean Patrick Flanery entre le film d’épouvante Kaw de Sheldon Wilson et la comédie horrifique The insatiable de Chuck Konzelman et Cary Solomon.Presque 20 ans plus tard, j’ai eu envie de revenir à cette dernière participation de Tobe Hooper à l’anthologie des Masters of horror, qui ne m’avait pas vraiment convaincu, mais moins déçu que la plupart à sa découverte. Et si, au sortir de cette révision, le sentiment de frustration demeure, difficile toutefois, pour l’admirateur que je suis de ce cinéaste franc-tireur jusqu’au bout, de ne pas reconnaitre y avoir pris un peu de plaisir.
Certes l’ensemble laisse le spectateur sur sa faim, souffrant en premier lieu d’une écriture condensant trop d’évènements et de personnages sur une petite heure seulement de pellicule. Hooper semble de ce fait constamment obligé d’aller à l’essentiel au détriment de toute véritable implication émotionnelle à l’égard de ses personnages.
En revanche, l’énergie ne fait jamais défaut dans cette violente peinture apocalyptique, qui parvient tout de même à bousculer agréablement le petit confort de son audience. L’artisan du chaos, souvent vilainement satirique, qu’aura toujours été Hooper répond ainsi une nouvelle fois présent, même si le cadre demeure étriqué, dans un climat de foutoir finalement à la fois stimulant et problématique.
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