THE DIRTY DOZEN: THE DEADLY MISSION (TV) (1987)

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Manu le 28/10/2012 à 09:28

2.1

Réalisé par Lee H. Katzin
Avec Telly Savalas, Ernest Borgnine, Vince Edwards, Bo Svenson, Randall "Tex" Cobb.
Téléfilm américain
Genre : Guerre
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1987
Titre français : Les Douze salopards - Mission suicide
Musique : John Cacavas

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.1

Critique THE DIRTY DOZEN: THE DEADLY MISSION (TV) (1987)

Avis rédigé par Manu | le 28/10/2012. | Note : 2.1

The Dirty dozen : The deadly mission est la seconde séquelle télévisée du classique de 1967 de Robert Aldrich, The Dirty Dozen. Tourné à Zagreb en Croatie (pays alors encore membre de la république de Yougoslavie), cette classique histoire de mission suicide dans la France occupée rappelle sous les drapeaux seulement deux des membres historiques de l’œuvre originale, Ernest Borgnine et Telly Savalas, dans un personnage différent de celui qu’il interprétait dans le film de 1967. Par ailleurs, c’est en quelque sorte la seconde fois que le cinéma de Lee H. Katzin croise celui de Robert Aldrich puisque ce dernier avait produit le What ever happened to aunt Alice ? de Katzin (et probablement choisi ce dernier pour le réaliser) presque 20 ans auparavant.

Arrivant après l’exécrable opus d’Andrew V. McLaglen, cette … deadly mission n’a pas trop de mal à paraitre un peu plus convenable. A condition bien sûr d’oublier totalement l’œuvre d’Aldrich. Car exit ici la hargne et l’ambigüité morale du premier film, soit tout ce qui en faisait son originalité. Pauvre en figuration mais plutôt satisfaisant dans sa reconstitution d’époque (comme à peu près toutes les bandes guerrières tournées en Yougoslavie durant cette période), The Dirty dozen : The deadly mission s’avère extrêmement pauvre en surprises. Les amateurs d’action héroïque pas trop exigeants trouveront néanmoins là matière à s’amuser des pelletés de clichés véhiculés par le scénario comme des prestations en pilotage automatique des mercenaires de l’écran Telly Savalas, Ernest Borgnine et Bo Svenson.

Une mission de routine en d’autre terme, évoquant moins son modèle que ses ersatz italo-espagnols des années 60-70.

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