I DIAVOLI DELLA GUERRA (1969)
Manu le 30/08/2024 à 17:03
Réalisé par Bitto Albertini
Avec Guy Madison, Venantino Venantini, Anthony Steel, Pascale Petit, Paolo Giusti.
Film italien, espagnol
Genre : Guerre
Durée : 1h 39min.
Année de production : 1969
Titre français : Les Guerriers de l'enfer
Musique : Stelvio Cipriani

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Guy Madison, Venantino Venantini, Anthony Steel, Pascale Petit, Paolo Giusti.
Film italien, espagnol
Genre : Guerre
Durée : 1h 39min.
Année de production : 1969
Titre français : Les Guerriers de l'enfer
Musique : Stelvio Cipriani

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.4
Production italo-espagnole tournée en Espagne, I Diavoli della guerra est le quatrième long métrage cinématographique du scénariste, directeur de la photographie et réalisateur Bitto Albertini. Le film est coécrit par Albertini. Il se situe dans la carrière de Guy Madison entre le drame de guerre Comando al infierno de José Luis Merino et le western de Leon Klimovsky, Reverendo Colt.Film de guerre paëlla (je ne sais pas si ça se dit, mais j'le dis quand même...) sur l'association / confrontation entre 2 officiers durant la seconde guerre mondiale, l'un américain (Guy Madison, transparent), l'autre allemand (Venantino Venantini, un peu plus concerné, ici sous le pseudonyme de Van Tenney), I Diavoli della guerra ne marquera ce sous-genre rarement inspiré de son empreinte.
La petite originalité de l’œuvre tient à son récit découpé en deux parties bien distinctes, la première située en Afrique du nord, la seconde dans la France occupée de 1944. Mais c'est à peu près tout ce que j'ai retenu de cette intrigue improbable, bourrée de clichés guerriers ultérieurement parodiés par les ZAZ.
A défaut de se montrer inventive, la réalisation ne démérite pas en terme de rythme. Malheureusement, celle-ci s'active en vain, l'absence d'enjeu et de tension, sans même parler de vraisemblance, tuant pratiquement dans l’œuf toute implication du côté du spectateur. Bref, mon troisième Bitto Albertini, je crois, et j’attends encore que le bonhomme m’offre un vrai bon bis.

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