DIE TODESSTRAHLEN DES DR. MABUSE (1964)
Manu le 06/03/2011 à 11:11
Réalisé par Hugo Fregonese
Avec Peter van Eyck, O.E. Hasse, Yvonne Furneaux, Rika Dialina, Claudio Gora.
Film allemand, français, italien
Genre : Fantastique
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1964
Titre français : Les Rayons de la mort du docteur Mabuse
Sortie Cinéma France : 16/08/1966
Sortie DVD France : n.c.
Avec Peter van Eyck, O.E. Hasse, Yvonne Furneaux, Rika Dialina, Claudio Gora.
Film allemand, français, italien
Genre : Fantastique
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1964
Titre français : Les Rayons de la mort du docteur Mabuse
Sortie Cinéma France : 16/08/1966
Sortie DVD France : n.c.
Critique DIE TODESSTRAHLEN DES DR. MABUSE (1964) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.1
Die Todesstrahlen des Dr. Mabuse est le sixième volet « sixties » des aventures du diabolique Docteur Mabuse, et le huitième des 10 films mettant en scène, sur une période courant de 1922 à 1990, ce personnage de maitre du monde en devenir.N’en ayant vu aucun, je ne peux comparer celui-ci avec ses autres confrères cinématographiques, dont au moins les 3 premiers, signés Fritz Lang, sont considérés comme des classiques, mais tel quel, Die Todesstrahlen des Dr. Mabuse constitue une très agréable pièce de cinéma bis ouvertement tournée vers l’Euro-spy, avec son agent secret anglais super smart, ses « Mabuse » girls sexy en diable, ses séquences de combats sous-marins (le genre de scènes que je trouve rébarbatives au possible … heureusement celles-ci sont assez courtes ici) et son arme de destruction planétaire convoitée par tout le monde.
Filmé avec flair, dans un noir et blanc très évocateur, par l’argentin touche-à-tout Hugo Fregonese, le film joue davantage que je ne le prévoyais la carte de l’humour avec une bonne dose de répliques à double sens (si possible à caractère salace) et une sous-intrigue comique, un poil lourde toutefois, impliquant une fausse épouse un peu nympho que doit se trimballer le héros pour « la couverture ».
Enfin, l’intrigue s’avère suffisamment délirante dans ses dérives science-fictionnelles - intéressantes extrapolations de peurs alors bien réelles (le nucléaire, les chinois …) - pour conférer un brin de personnalité et d’ambition à l’ensemble.
Une forme parfaitement attractive, un contenu riche de plusieurs strates d'interprétation, une atmosphère générale délicieusement datée : bref, pour moi un bon spectacle.
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