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OP CENTER (TV) (1995)

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Manu le 14/08/2022 à 11:27
2.7
Réalisé par Lewis Teague
Avec Harry Hamlin, Carl Weathers, Lindsay Frost, Kim Cattrall, Wilford Brimley.
Téléfilm américain
Genre : Espionnage
Durée : 1h 53min.
Année de production : 1995
Musique : Patrick Williams

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.7



 Critique OP CENTER (TV) (1995)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 2.7
Cat’s eye est le sixième long métrage cinématographique de Lewis Teague. Cette seconde des 3 associations entre le cinéaste et le producteur Dino De Laurentiis est écrite par Stephen King lui-même, les deux premiers segments étant des adaptations de deux nouvelles issues du recueil « Night shift », publié en 1978, « Quitters. Inc. » et « The Ledge », tandis que le troisième épisode relève de la création originale. Dans la carrière de James Woods, le film se situe entre le Once upon a time in America de Sergio Leone et le Joshua the and now de Ted Kotcheff.

Adaptation de King plutôt réputée, issue d’une période où celles-ci commençaient à se multiplier sur grand et bientôt petit écran, Cat’s eye me semble pourtant loin de compter parmi les incontournables de ce quasi genre en soi, à la différence par exemple du redoutablement efficace Cujo précédemment signé par Teague.

Certes le ton très différent de l’œuvre, se voulant nettement plus caustique, change forcement la donne, et il n’est peut-être pas des plus pertinent de comparer l’oppressant huis clos précité à ce titre qui relève, pour beaucoup, de la comédie noire. Il n’empêche que, au-delà du réel savoir-faire de l’œuvre, auquel Teague et son illustre directeur de la photographie, Jack Cardiff (The African queen, Legend of the lost, Death on the Nile) contribuent pour une large part, Cat’s eye joue quand même un peu trop la dilettante, avec une écriture incapable d’élever ses amusants pitchs au-delà de…l’amusant pitch, et une interprétation qui se fait un peu trop plaisir dans le registre du cabotinage.

Au final, une sucrerie eighties portant sans doute davantage la griffe de Dino que celle de Lewis, plaisante mais anecdotique au regard d’un The Dead zone ou Stand by me, pour en rester à la seule décennie 80 dans les adaptations de King.


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