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TORCHLIGHT (1984)

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Manu le 25/05/2021 à 07:55
2.2
Réalisé par Thomas J. Wright
Avec Pamela Sue Martin, Steve Railsback, Ian McShane, Rita Taggart, Rudy Ramos.
Film américain
Genre : Drame
Durée : 1h 30min.
Année de production : 1984
Titre français : Enfer au bout de la ligne
Musique : Michael Cannon

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.2



 Critique TORCHLIGHT (1984)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 2.2
Torchlight est le tout premier long métrage signé par Thomas J. Wright, jusqu’alors réalisateur de seconde équipe aux côtés d’Herbert Ross (Pennies from heaven, I ought to be in a picture) et Sylvester Stallone (Staying alive). Cette production américaine intégralement filmée au Mexique est coécrite par son actrice principale, Pamela Sue Martin. Elle se situe dans la carrière cinématographique de Steve Railsback entre le drame familial The Golden seal de Frank Zuniga et le film de science-fiction Lifeforce de Tobe Hooper.

Sorti uniquement en vidéo dans l’hexagone sous un titre à double sens laissant fallacieusement imaginer un thriller domestique, Torchlight n’est en fait rien de plus ni de moins qu’un drame conjugal antidrogue. Bon, rien de répréhensible en soi, me dira-t-on, le sujet ayant déjà débouché sur de grands films (cf. The Panic in Needle Park). Sauf qu’ici l’ensemble est vraiment écrit avec les pieds, invitant davantage le spectateur au sourire en coin qu’à la prise de conscience des ravages provoqués par la cocaïne.

Problème numéro uno du script : l’absence intégrale de crédibilité des personnages, entre une Pamela Sue Martin bien trop naïve pour que l’on adhère à son chemin de croix, un Steve Railsback qui fait peur du début à la fin, au point que son addiction à la cocaïne ne paraisse finalement être qu'un problème secondaire chez lui, et enfin un Ian McShane qui certes casse la baraque en dealer suave / ordure de première, mais dont l’amusante prestation over the top n’appartient définitivement pas au bon film.

Bref, un film dossier d’une maladresse un brin risible, à voir essentiellement pour les compositions savoureusement excessives de Steve Railsback et plus encore Ian McShane.


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