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THE SEDUCTION OF GINA (TV) (1984)

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Manu le 05/08/2022 à 11:03
3.2
Réalisé par Jerrold Freedman
Avec Valerie Bertinelli, Michael Brandon, Fredric Lehne, Ed Lauter, Dinah Manoff.
Téléfilm américain
Genre : Drame
Durée : 1h 34min.
Année de production : 1984
Titre français : La Flambeuse
Musique : Thomas Newman

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.2



 Critique THE SEDUCTION OF GINA (TV) (1984)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 3.2
The Seduction of Gina se situe dans la filmographie de Jerrold Freedman entre le drame féminin Legs avec Sheree North et Gwen Verdon, et le suspense Best kept secrets, interprété par Frederic Forrest et Peter Coyote. Originellement diffusé sur la chaîne CBS, ce téléfilm est écrit par Judith Parker, précédemment scénariste du thriller Are you alone in the house? de Walter Grauman, également tourné pour le petit écran.

The Seduction of Gina, c’est à mon sens avant tout l’histoire d’une fructueuse collaboration entre l’un des plus doués téléastes de sa génération, Jerrold Freedman, et un directeur de la photographie d’exception, Tak Fujimoto, dont le nom se verra par la suite associé aux plus belles réussites de Jonathan Demme.

Cette association, épaulée par une emballante ambiance musicale eighties, entre les quelques instrumentaux de Van Halen - alors époux de l’actrice principale, Valerie Bertinelli - et le score atmosphérique en diable du quasi débutant Thomas Newman, donne tout son sel et sa tenue artistique de premier plan, plus cinématographique que télévisuelle - à une époque où ce trait encore relativement marqué - à ce pour le reste très classique drame de l’addiction au jeu.

Car, sorti de l'excellent travail accompli par Freedman, Fujimoto et Newman, The Seduction of Gina donne dans le solide mais sans surprise. L’interprétation est honnête, l’écriture soignée, mais à tout cela manque un brin de substance et de vertige, relevant juste de la mise en garde dans son traitement de l’addiction là où on aurait évidemment préféré quelque chose de plus fouillé, de moins immédiatement évident, voire un brin moraliste.

Bref, un modeste The Gambler au féminin, attendu dans le fond mais offrant beaucoup de plaisir à l’œil comme à l’oreille. Soit tout de même une jolie petite réussite pour son réalisateur.


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