THE LONG HOT SUMMER (TV) (1985)
Manu le 05/05/2025 à 07:43
Réalisé par Stuart Cooper
Avec Don Johnson, Jason Robards, Judith Ivey, Cybill Shepherd, Ava Gardner.
Mini-série américaine en 2 épisodes
Genre : Drame
Durée : 3h 10min. environ
Année de production : 1985
Titre français : Les Feux de l'été
Musique : Charles Bernstein

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Don Johnson, Jason Robards, Judith Ivey, Cybill Shepherd, Ava Gardner.
Mini-série américaine en 2 épisodes
Genre : Drame
Durée : 3h 10min. environ
Année de production : 1985
Titre français : Les Feux de l'été
Musique : Charles Bernstein

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.7
Antépénultième apparition à l'écran d'Ava Gardner, The Long hot summer est le remake du film éponyme de Martin Ritt de 1958, qui condensait 3 écrits de William Faulkner, parmi lesquels le roman « The Hamlet ». Cette mini-série en 2 parties est intégralement signée par l’acteur et réalisateur Stuart Cooper. Elle se situe dans la carrière de Cybill Shepherd quelque part entre le suspense tourné le petit écran, Seduced, de Jerrold Freedman et la comédie fantastique Chances are d’Emile Ardolino. Le film originel ne m'avait pas laissé un grand souvenir malgré son casting poids lourd (Newman, Woodward, Orson Welles, Lee Remick), appartenant pour moi à la veine un peu ampoulée du cinéaste. Et malheureusement le réalisateur de l’excellent The Disappearance ne fait pas beaucoup mieux sur cette nouvelle version retravaillant le script d’Irving Ravetch et Harriet Frank Jr.
Soit un soap-opera eighties plutôt plan-plan, trop sage pour amuser, en dépit d'une distribution là-encore très soignée, dans les premiers comme seconds rôles (dont William Forsythe, en « Simple Jack » et Wings Hauser). Le talent de tout ce petit monde, couplé à l’authenticité des décors et un agréable score de Charles Bernstein (aux accents romantiques à la Francis Lai) font que les 190 minutes de cette saga sudiste passent sans que l’ennui ne viennent véritablement pointer le bout de son nez. Mais cette superficialité générale reste tout de même décevante de la part d’un cinéaste nettement plus frondeur dans ses travaux de la décennie précédente.
Quant à Ava Gardner, qui incarne ici la maitresse de Jason Robards, on la voit finalement peu. Il m'a d'ailleurs semblé que son personnage était beaucoup plus présent dans le film de 1958.

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