MASTER OF THE GAME (TV) (1984)
Manu le 20/10/2025 à 22:57
Réalisé par Kevin Connor, Harvey Hart
Avec Dyan Cannon, Harry Hamlin, Cliff De Young, David Birney, Liane Langland.
Mini-série américaine en 4 parties
Genre : Drame
Durée : 6h 53min. environ
Année de production : 1984
Titre français : Maîtresse du jeu
Musique : Allyn Ferguson

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Dyan Cannon, Harry Hamlin, Cliff De Young, David Birney, Liane Langland.
Mini-série américaine en 4 parties
Genre : Drame
Durée : 6h 53min. environ
Année de production : 1984
Titre français : Maîtresse du jeu
Musique : Allyn Ferguson

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.0
Master of the game est une mini-série américaine en 4 parties réalisée par le britannique Kevin Connor et le canadien Harvey Hart. Celle-ci adapte le best-seller homonyme de Sidney Sheldon, originellement publié en 1982. Elle se situe dans la carrière de Dyan Cannon entre les téléfilms Having it all d’Edward Zwick et Arthur the King de Clive Donner.Luxueuse production télé tournée sur 3 continents, Master of the game est le parfait exemple de la mini-série de prestige façon années 80. De la star plus ou moins fraîche, de l’exotisme de pacotille, des histoires alambiquées sur plusieurs générations mêlant sexe et pouvoir.
Bref, une sorte de modèle de cahier des charges qui fonctionne évidemment bien mieux lorsqu’elle s’en éloigne un peu, comme ici dans sa première partie, aux allures de western africain, portée niveau interprétation par Donald Pleasence semblant se délecter d’un nouveau rôle de salopard fini.
La suite, plus sage, perd sensiblement en intérêt malgré moult rebondissements. Des péripéties par ailleurs menées à bien trop vive allure pour permettre au spectateur de s’en amuser pleinement. A cet égard, l’intrigue de ce Master of the game s’avère si dense qu’elle prend par moment l’allure d’un simple résumé en accéléré, suggérant un montage initial beaucoup plus long.
Des moyens, le plaisir d’une distribution clinquante, un certain dynamisme côté réalisation - on sent ici le métier de Kevin Connor et Harvey Hart - mais un fond assurément superficiel, gentiment ringard, poussant à ne recommander l’ensemble qu’aux seuls nostalgiques de la petite lucarne des années 80.

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