HOPE SPRINGS (2012)
Elvis le 27/12/2012 à 22:52
Réalisé par David Frankel
Avec Meryl Streep, Tommy Lee Jones, Steve Carell, Jean Smart, Brett Rice.
Film américain
Titre français : Tous les espoirs sont permis
Genre : Comédie , Drame , Romance
Durée : 1h 40min.
Année de production : 2012
Musique : Theodore Shapiro
Sortie Cinéma France : 10/10/2012
Sortie DVD France : n.c.
Avec Meryl Streep, Tommy Lee Jones, Steve Carell, Jean Smart, Brett Rice.
Film américain
Titre français : Tous les espoirs sont permis
Genre : Comédie , Drame , Romance
Durée : 1h 40min.
Année de production : 2012
Musique : Theodore Shapiro
Sortie Cinéma France : 10/10/2012
Sortie DVD France : n.c.
Critique HOPE SPRINGS (2012) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 1.6
Ecrit par la scénariste télé à succès Vanessa Taylor, Hope springs est la cinquième réalisation cinématographique de David Frankel. Le film marque la seconde rencontre à l’écran entre Tommy Lee Jones et Meryl Streep après A Prairie home companion de Robert Altman en 2006.Au menu des réjouissances de cette tragi-comédie de mœurs : un sujet intéressant – l’usure du couple - et un séduisant trio d’acteurs. De quoi espérer quelque chose d’au minimum regardable. Promesse à peine tenue, tant le temps parait long, presque suspendu dans ce film à la réalisation léthargique, sombrant dans l’insignifiance à vouloir tenter de raconter une histoire simple. Meryl Streep et surtout Tommy Lee Jones - en vieux bougon tout droit sorti des Men in black - font ce qu’ils peuvent pour donner un peu de peps à l’ensemble comme de hauteur au débat. Mais ils finissent emportés par le naufrage que constitue cette paresseuse entreprise, l'un et l'autre coincés dans des situations pliées d’avance et des dialogues sans la moindre trace du mordant ou de la finesse nécessairement requis en pareille situation.
Un produit de studio « pour senior » sans la moindre saveur, et une perte de temps et de talent sèche pour ses 3 principaux interprètes (voire également pour Elisabeth Shue, dont la présence dans un rôle à la limite du cameo demeure la seule et unique surprise proposée par le film).