DON'T TELL MOM THE BABYSITTER'S DEAD (1991)

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Manu le 01/04/2022 à 16:37

2.5

Réalisé par Stephen Herek
Avec Christina Applegate, Joanna Cassidy, John Getz, Josh Charles, Keith Coogan.
Film américain
Genre : Comédie
Durée : 1h 42min.
Année de production : 1991
Titre français : Panique chez les Crandell
Musique : David Newman

Sortie Cinéma France : 22/07/1992
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.5

Critique DON'T TELL MOM THE BABYSITTER'S DEAD (1991)

Avis rédigé par Manu | le 01/04/2022. | Note : 2.5

Don’t tell mom the babysitter’s dead est le troisième long métrage cinématographique de Stephen Herek. Coécrit par Neil Landau, futur coscénariste des films d’animation Las Aventuras de Tadeo Jones et sa suite, le film se situe dans la carrière cinématographique de Christina Applegate entre le drame urbain Streets de Katt Shea et la comédie dramatique Across the moon de Lisa Gottlieb.

Comédie mi-familiale, mi-teenagers faisant suite dans la filmographie de Stephen Herek au carton financier (outre-Atlantique) Bill & Ted’s excellent adventure, Don’t tell mom the babysitter’s dead semble avoir lui-aussi gagné son petit statut culte au fil du temps en dépit de critiques initialement peu enthousiastes et d’un succès en salles relativement modeste.

Une petite popularité dans les milieux bien informés que ne vient malheureusement guère justifier la vision de l’œuvre en question, sans ambition aucune et sans grand charme vintage non plus, même si à l’évidence très ancrée dans son époque.

Tout cela démarre pourtant de façon prometteuse, avec dynamisme, quelques répliques amusantes et un certain sens de la bouffonnerie. Au point que l’on a presque envie d’y croire pendant un moment, au moins jusqu’à la mi-film, avant de devoir se rendre à l’évidence : On est bien chez Stephen Herek, grand spécialiste du divertissement moralisateur et constipé, faussement rebelle.

Bref, Herek a certes fait bien plus agaçant, et que le côté inoffensif Comme béta de la chose pousserait presque à une certaine indulgence, mais néanmoins clairement pas le must-see oublié de la carrière de son peu recommandable réalisateur, tel que présenté par certains.

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