FERDINANDO I° RE DI NAPOLI (1959)
Manu le 03/06/2021 à 16:40
Réalisé par Gianni Franciolini
Avec Peppino De Filippo, Vittorio De Sica, Aldo Fabrizi, Marcello Mastroianni, Rosanna Schiaffino.
Film italien, français
Genre : Comédie
Durée : 1h 45min.
Année de production : 1959
Titre français : Ferdinand 1er, roi de Naples
Musique : Angelo Francesco Lavagnino
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Peppino De Filippo, Vittorio De Sica, Aldo Fabrizi, Marcello Mastroianni, Rosanna Schiaffino.
Film italien, français
Genre : Comédie
Durée : 1h 45min.
Année de production : 1959
Titre français : Ferdinand 1er, roi de Naples
Musique : Angelo Francesco Lavagnino
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique FERDINANDO I° RE DI NAPOLI (1959) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.6
Ferdinando I° re di Napoli est le dix-septième et dernier long métrage signé par le prématurément disparu (à l’âge de 49 ans) Gianni Franciolini. Le film est coécrit par le futur réalisateur Pasquale Festa Campanile. Il se situe dans la carrière de Marcello Mastroianni entre l’obscur comédie Tutti innamorati de Giuseppe Orlandini et le classique des classiques, La dolce vita de Federico Fellini. Notons enfin que Mastroianni s’étaient déjà croisés à l’écran 1 an plus tôt, dans le drame romantique Un ettaro di cielo d’Aglauco Casadio.Mon premier Gianni Franciolini, cinéaste aujourd’hui largement oublié en dépit d’une œuvre convoquant les plus grandes stars transalpines - et parfois même françaises - des années 50, et je sens prêt à creuser le sujet si le reste est du même acabit. Ferdinando I° Re di Napoli est en effet une délicieuse comédie historique rivalisant de faste et d’élégance dans sa confection, comme de drôlerie et d’acuité dans son écriture. Une œuvre assurément marquée par la personnalité de Festa Campanile et son approche « par le trou de la serrure » de l’Histoire italienne.
Au final, un produit certes hybride mais stimulant, énergique, aussi séduisant dans la forme, classique sans tomber dans l’académisme, que dans le fond, riche, instructif mais absolument pas scolaire. Et tout cela sans même parler de l’interprétation, tout à fait réjouissante. Belle découverte, en d’autres termes…