CADILLAC MAN (1990)
Manu le 23/06/2024 à 20:59
Réalisé par Rober Donaldson
Avec Robin Williams, Tim Robbins, Pamela Reed, Fran Drescher, Lori Petty.
Film américain
Genre : Comédie
Durée : 1h 37min.
Année de production : 1990
Musique : J. Peter Robinson

Sortie Cinéma France : 08/08/1990
Sortie DVD France : n.c.
Avec Robin Williams, Tim Robbins, Pamela Reed, Fran Drescher, Lori Petty.
Film américain
Genre : Comédie
Durée : 1h 37min.
Année de production : 1990
Musique : J. Peter Robinson

Sortie Cinéma France : 08/08/1990
Sortie DVD France : n.c.
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Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 3.4
Cadillac Man est le septième long métrage cinématographique de l’australien Roger Donaldson. Le film est écrit par Ken Friedman, fréquent collaborateur de Jonathan Kaplan et réalisateur d’un relativement obscur Made in U.S.A. en 1987. Il se situe dans la carrière de Robin Williams entre le carton critique et public Dead Poets Society de Peter Weir et le drame médical Awakenings de Penny Marshall.Re-revu, à la faveur de sa disponibilité sur Amazon Prime, ce Dog day afternoon pour rire reste un de mes films préférés de Donaldson (qui semble d'ailleurs avoir pris sa retraite). Un essai en tout cas nettement plus intéressant que son précédent, Cocktail, qui parlait lui-aussi de réussite à l'américaine, mais de façon beaucoup plus lisse.
Déjà, le film démarre en fanfare. Deux ans avant le spectaculaire plan d'ouverture de White sands, Cadillac Man s'ouvre lui-aussi sur un impressionnant plan aérien, d'un gigantesque cimetière new yorkais. Et puis Robin Williams se montre en grande forme dans son rôle de vendeur de voitures sous pression. Un personnage à la fois drôle et un peu tragique.
Le film est rapide, presque trop même, constamment savoureux dans les dialogues, également porté par un Tim Robbins qui assure au moins autant Williams en abruti complet, pré-The Hudsucker proxy.
Après, il est clair que ça reste jusqu’au bout bancal dans le ton. On est à la fois dans une farce et quelque chose de plus sérieux, presque sombre. Et puis la construction du récit me semble également problématique, avec un film qui, après s’être consacré exclusivement à son personnage principal, semble passer un peu à autre chose, lorsque Tim Robbins fait irruption au sein de l’intrigue.
Mais bon, dans l’ensemble, ce Cadillac Man demeure très plaisant à suivre, et certainement plus stimulant qu’un Jack, Flubber ou Patch Adams dans la carrière de Williams.

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