BIG MOMMAS: LIKE FATHER LIKE SON (2011)

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Léo le 19/05/2013 à 09:06

Réalisé par John Whitesell
Avec Martin Lawrence, Brandon T. Jackson, Jessica Lucas, Portia Doubleday, Michelle Ang.
Film Américain
Genre : Comédie, Policier
Durée : 1h 47min
Année de production : 2011
Titre français : Big Mamma : De Père en Fils
Musique : David Newman

Sortie Cinéma France : 30/03/2011
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.0

Critique BIG MOMMAS: LIKE FATHER LIKE SON (2011)

Avis rédigé par Manu | le 19/05/2013. | Note : 2.0

Troisième aventure de l’agent du FBI Malcolm Turner, plus connu sous le nom d’emprunt de Big Momma, Big mommas : like father like son est à nouveau signé John Whitesell, mais scénarisé cette fois par le néophyte Matthew Fogel. Sans grande surprise, le film a récolté trois nominations aux razzie awards 2012, dans les catégories pire actrice (Martin Lawrence), pire second rôle masculin (Ken Jeong) et pire second rôle féminin (Brandon T. Jackson). Côté box-office, on note un net essoufflement de la franchise, les 117 millions récoltés par le premier volet sur le sol américain se transformant en 70 millions sur le second pour tomber ici à « seulement » 38 millions de recettes.

Disons pour résumer la chose que cette comédie policière s’adresse uniquement au public ayant tenu devant les 2 premiers opus. Si ceux-ci ne vous ont procuré aucun plaisir, inutile de tenter ce Big mommas : like father like son. L’humour y est aussi facile et souvent volontairement vulgaire, le fond aussi consensuel, l’intrigue policière aussi dépourvue du moindre intérêt, la réalisation aussi anonyme et Martin Lawrence aussi cabotin. La seule originalité du produit est d’être un peu plus « musical » que les précédents volets, l’intrigue se situant dans une école des beaux-arts, à la Fame.

En toute franchise, j’avoue avoir trouvé le petit numéro de Martin Lawrence en Big momma encore assez amusant et, grâce à celui-ci, n’ai donc pas passé un désagréable moment devant l’ensemble. Néanmoins, il me faut là encore admettre qu’on reste ici dans un produit de consommation courante dénué de toute personnalité et véritable ambition artistique, qui s’oublie presque instantanément après vision.

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