THE TERROR BENEATH (TV) (2011)

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Manu le 05/04/2012 à 21:12

1.6

Réalisé par Paul Ziller
Avec Adrian Pasdar, Stefanie von Pfetten, Luisa D'Oliveira, Jesse Moss.
Téléfilm canadien
Genre : Catastrophe, science-fiction
Durée : 1h 24min.
Année de production : 2011
Titre alternatif : Seeds of destruction
Titre français : Les Racines de l'apocalypse
Musique : Michael Neilson

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

1.6

Critique THE TERROR BENEATH (TV) (2011)

Avis rédigé par Manu | le 05/04/2012. | Note : 1.6

The Terror beneath est l’un des quatre films réalisé par Paul Ziller sur la seule année 2011. Destiné prioritairement à alimenter les programmes de la chaine SyFy, ce mélange de science-fiction et de film catastrophe environnemental tourné en Colombie-Britannique est co-écrit par Ziller lui-même.

Ayant été plutôt agréablement surpris par les récents Iron Invader et Ice Quake du même Ziller, j’abordais cette Terror beneath d’un œil d’autant plus bienveillant qu’il offrait son rôle principal à un acteur que j’aime bien, le sympathique Adrian Pasdar, interprète principal du culte Near dark de Kathryn Bigelow. Sûr que ça n’allait pas être un modèle d’originalité et de rigueur en matière d’écriture, ni même un ravissement pour la rétine côté effets spéciaux. Mais, connaissant assez bien Ziller, je m’y étais préparé et n’espérais à dire vrai rien de plus qu’un petit divertissement emballé avec minimum de savoir-faire/débrouillardise. Un objectif malheureusement pas totalement atteint dans la mesure où j’ai tout de même trouvé les 84 minutes du film vachement longues.

Et pourtant The Terror beneath démarre sur les chapeaux de roues et ne joue pas les rapiats en ce qui concerne les rebondissements. Mais, entre des personnages translucides, des dialogues sans peps, des péripéties vides d’enjeux réels et, bien souvent, de cohérence élémentaire, il faut franchement se motiver pour ne pas décrocher. Niveaux FX, non seulement ce n’est pas très beau, mais il faudrait également que Ziller pense à varier un chouïa les plaisirs, parce que son effet « craquement sol », déjà généreusement dispensé tout au long de ses précédents Ice Quake et Polar storm, commence à franchement sentir la réchauffé.

Bref, un tout p’tit Ziller.

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