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SIDEKICKS (1992)

(1) critique (3) commentaires
Manu le 07/05/2009 à 18:26
2
Réalisé par Aaron Norris
Avec Chuck Norris, Beau Bridges, Mako, Jonathan Brandis, Gerrit Graham.
Film américain
Genre : Aventure
Durée : 1h 37min.
Année de production : 1992
Musique : Alan Silvestri

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.0



 Critique SIDEKICKS (1992)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 2.0
La petite particularité de ce Chuck Norris période post-Cannon, c'est que Chuck y joue son propre rôle et n'apparait qu'en guest-star (« c'est toujours ça de gagner » diront les mauvaises langues).

Le héros de l'histoire c'est le jeune Barry Grabewski, interprété par Jonathan Brandis, le Bastian de L'Histoire sans fin 2 (un comédien qui mettra par ailleurs fin à ses jours en 2003, mais c'est là une autre histoire, moins féérique !). Barry (ou « Barrykiki » comme le surnomme affectueusement le costaud de sa classe) est un gosse asthmatique, tête de turc de son lycée et dont la seule idole sur terre est Chuck Norris (10 ans plus tôt ça aurait peut-être pu se comprendre, mais en 1992 ça la fout mal quand même). Autrement dit, Barry est mal parti dans la vie. Fort heureusement il va bientôt faire la connaissance de Mr Lee, un clone pas très drôle de Maitre Miyagy (ou Maître Kezac pour ceux qui connaissent). Je ne vous raconte pas la suite, vous la connaissez déjà de toute façon.

Sachez seulement que les auteurs de cette comédie sportive ont visiblement jeter plus qu'un oeil à la série des Karaté Kid avant de pondre leur script et que si l'on ajoute à cette sensation de déjà vu une forme télévisuelle pas très recherchée et une interprétation sans saveur, ça ne nous donne pas vraiment un bon film tout ça.

L'idée la plus gonflée / originale (ou la plus douteuse, c'est selon) de cet ensemble ultra-prévisible est celle sur laquelle s'achève le film : un garçonnet récupère sur un banc public la revue d'arts martiaux avec Chuck en couverture que gardait jusqu'alors précieusement avec lui Barry. Son oeil s'illumine. On passe en plan large et là, on découvre que le garçon est paralytique, le réal lance une petite musique de winner et notre future karatéka s'éloigne la revue sous le bras vers le soleil couchant. Il n'a quand même peur de rien, ce Chuck.


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