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MAXIMUM CONVICTION (2012)

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Léo le 05/01/2015 à 22:00
1.6
Réalisé par Keoni Waxman
Avec Steven Seagal, Steve Austin, Michael Paré, Bren Foster, Steph Song.
Film américain
Genre : Action, Aventure, Thriller
Durée : 1h 33min.
Année de production : 2012
Musique : Michael Richard Plowman

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

1.6



 Critique MAXIMUM CONVICTION (2012)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 1.6
Quinzième réalisation de Keoni Waxman, Maximum conviction marque par ailleurs la troisième collaboration cinématographique du cinéaste avec l’action star Steven Seagal (ou du moins ce qu’il en reste), ainsi que seconde avec l’ex catcheur passé acteur Steve Austin après Hunt to kill en 2010. Filmé au Canada, dans la province de Colombie britannique, ce pur DTV est écrit par le canadien Richard Beattie, scénariste notamment du pas inintéressant Blindside de Paul Lynch avec Harvey Keitel, de même que du quatrième et dernier opus de la franchise des Prom night.

Rien de neuf sous le soleil des DTV mettant en scène le camarade Seagal, si ce n’est que, l’âge n’aidant évidemment pas, celui-ci n’en fini plus de s’empâter et de céder dans la foulée du temps de présence écran à ses partenaires.

De plus en plus contraint de lever le pied (enfin, façon de parler…) sur les scènes de bastonnade, Saumon agile se contente donc de fanfaronner en tenue guerrière et de marmonner quelques punchlines au rabais et autres leçons de savoir-vivre à ses adversaires avant de leur faire rejoindre sans ménagement un monde meilleur. Quant à l’histoire bâtie autour de ces empoignades musclées, elle en rappelle mille autres, à commencer par le diptyque Under siege et, au-delà, l’incontournable Die hard de McTiernan.

Côté réalisation, reconnaissons tout de même que le travail demeure soigné, si certainement un peu trop axé sur les effets stylistiques à l’épate. Mais, devant tant de situations déjà vue, de dialogues médiocres, d’interminables échanges de coups de feu dans des couloirs crasseux et de jeux d’acteurs limités à des cris et des grimaces de douleur, difficile de ne pas trouver le temps un poil long même lorsqu’on juste envie de s’avaler un bon bol cinématographique de testostérone décérébrée.


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