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LET'S GET HARRY (1986)

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Manu le 11/03/2025 à 19:55
3.1
Réalisé par Stuart Rosenberg
Avec Michael Schoeffling, Tom Wilson, Robert Duvall, Gary Busey, Mark Harmon.
Film américain
Genre : Action
Durée : 1h 42min.
Année de production : 1986
Titre français : Six hommes pour sauver Harry
Musique : Brad Fiedel

Sortie Cinéma France : 15/07/1987
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.1



 Critique LET'S GET HARRY (1986)
Avis rédigé par Manu   |  le .   |  Note : 3.1
Quinzième des 16 longs métrages signés par Stuart Rosenberg entre 1960 et 1991, Let’s get Harry est écrit par Charles Robert Carner, futur scénariste du Blind fury de Philip Noyce et réalisateur de l’abominable J.L. Family Ranch. Le film marque les retrouvailles du cinéaste avec Robert Duvall, 20 ans après le film de télévision Fame is the name of game. Il se situe dans la carrière de l’acteur entre le drame indépendant Belizaire the cajun de Glen Pitre et le film d’aventures de Cinzia TH. Torrini, Hotel Colonial.

Avant-dernier film de Rosenberg donc, renié par le cinéaste au terme d'un remontage apparemment destiné à mettre un peu plus en valeur le personnage incarné par Mark Harmon. Et une révision qui ne bouscule pas ma première impression, datant d’une vingtaine d'années : Let’s get Harry, c'est idiot mais divertissant.

Sans doute y avait-il une volonté de sérieux à l'origine de cette histoire coécrite par Samuel Fuller. Mais le produit fini ressemble, lui, à un épisode ciné de The A-Team, l'humour en moins (à l'exception de la scène du recrutement et d'une ou 2 croustillantes punchlines comme le « Something in his attitude convinced me » balancé par Duvall après avoir liquidé Gregory Sierra), avec ici Robert Duvall dans le rôle d'Hannibal Smith.

Cela ne tient par conséquent pas la route 3 minutes, mais Rosenberg, cinéaste habituellement du genre pas trop pressé, imprime pour une fois un rythme assez soutenu à l'ensemble. Brad Fiedel y croit à fond aux synthés, les paysages mexicains assurent un minimum d'exotisme et, si cela ne suffisait pas, Let's get Harry propose également un Gary Busey monté sur ressort en vendeur de voitures d'occasion, ainsi qu'une course-poursuite en Renault 12 avec Duvall au volant.

Bref, certes pas le sommet de la carrière de Rosenberg, qui sortait alors juste de ses 2 plus belles réussites, Brubaker et Yhe Pope of Greenwich Village, mais assurément une plaisante petite sucrerie reagano-eighties.


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